We were lovers.

Je suis d’humeur à écrire un article. C’est l’effet Bloc Party. (Faudra que je raconte Bloc Party un jour quand même.)
Enfin, c’est pas vraiment un article à proprement parler, avec plein de blabla inutile dedans, ce sera juste un peu de photos et un peu de musique.

Donc on commence par la partie photos. Rien d’extraordinaire en fait, juste ce que j’ai pu sauver de mes vacances, et un petit extra “autoportrait-plus-auto-que-portrait”. En fait, je sais pas trop quoi faire de cette photo. La seule chose qui me vient en tête, c’est de changer le K du badge en C, pour I <3 Carl (rapport à Carl Barât et aux Libertines, vous suivez ?). DONC, toutes suggestions/remarques/critiques sont les bienvenues. Voilà.

Et maintenant, une petite Thursday night/Friday morning playlist. (en fait, c’est plus une Bloc Party playlist, mais c’est ce que j’écoute right now.)(ça va être absolument merveilleux, accrochez-vous !)

We Were Lovers
Song for Clay (disapear here)
Version 2.0
This Modern Love
England
Biko
The Once And Future King
Emma Kate’s Accident
One Month Off
Halo
Trojan Horse
Uniform
Vision of Heaven
Signs
The Pioneers
Hunting for Witches

Voilà, voilà, nombreux bons morceaux du groupe sont quand même passés à la trappe, mais bon…
La prochaine playlist (si prochaine playlist il y a) aura pour thème Pete-chéri. Autrement dit, du Libertines, des Babyshambles et du Peter Doherty.

Donc en fait, ça fait une éternité que je n’ai pas posté sur ce blog, mais c’est dû au manque de truc intéressant à raconter. Parce que vacances pourri blalbla toussa, enfin bref. Donc je voulais vous faire un article sur mes obsessions du moment, mais en fait, y’en a trop, et puis ça change tout le temps, donc voilà. J’aurais pu vous parler de Jim Morisson, mais le mieux, c’était encore de voir When you’re strange. Je pourrais vous parler de comment je suis tombée amoureuse de Pete Doherty, comment il m’obsède et comment je l’aime tellement que j’en pleurerai, mais c’est un peu pathétique. Je pourrais vous parler du fait que j’ai hâte de retourner à Paris pour faire des photos, mais honnêtement, on verra ça après coup. Je pourrais aussi vous parler de toutes les séries que je regarde en ce moment, mais y’en a trop. J’aurais pu vous raconter mes vacances, mais comme moi, vous vous seriez ennuyés. J’aurais pu encore vous parler des films que j’ai regardé, mais c’est tellement la lose de ne jamais les avoir vu que je me tais.

En bref, j’ai rien à raconter, et j’ai rien à vous montrer puisque mon appareil ne m’aime plus. Cet article servait à rien, juste à dire à quel point je n’ai rien à dire. Maintenant, je dois aller équeuter des haricots.

Paris, je t’aime.

Il fut un temps où j’aimais dire que je faisais de la photo. Et puis, c’est passé. Petit à petit, j’ai arrêté de sortir mon appareil, lassée de toujours faire la même chose. On range les photos au fin fond d’un DDE, et puis un jour, comme ça, on les reregarde. On rit du carnage qu’on a pu faire, et on revoit les photos qui étaient les plus réussies -à ses yeux-. Un petit melting pot.

Beaucoup de choses se résument en trois chiffres. 301

Le recul n’est probablement pas encore suffisant pour parler de ça. Mais c’est quand même la fin, et une boule de tristesse me sert le ventre. Je ne peux m’empêcher de penser à des souvenirs, des actions, un tas de choses. Et je n’ai pas envie de penser que sur ma page de Moleskine, plus jamais je n’écrirai 301.

Le 301, je me rappelle la première fois qu’on y a fait notre apparition, les circonstances, tout ! Et nous, toutes timides dans cet appartement inconnu avec pleins de gens inconnus. Je me rappelle aussi pourquoi on y est retourné, la motivation qui me poussait à y aller, et puis je me rappelle comment à la fin, ça n’avait plus rien à voir, comment on avait trouvé une place dans ce sacro-saint lieu, et comment, un mardi soir loin de l’appartement était inconcevable.

C’est trop dur de décrire pour les non initiés. Le 301, il fallait le pratiquer pour le comprendre. Le 301, c’était la débauche, le crossage, le délire, le grand n’importe quoi. Une ambiance unique, pour un lieu unique. Un lieu de festoiement, de potins, de violence, de rencontre. Des litres d’alcool dans les veines, dans les bouteilles, sur le sol, dans les toilettes. Des centaines de grammes de goudrons dans nos poumons. Des fous rires, des larmes, des débats, de la musique. C’est une liste non-exhaustive.

Et c’est pour toutes ces choses que je dis merci. Merci au 301, merci à Tibo. Merci au staff, et merci à tout ceux qui ont fait de cet appart, le plus bel appart de Besançon.

C’est la fin. On sait ce qu’on a perdu. Et on a rien récupéré en retour.

Je vous aime tous.

Because I can’t get love.

Je reviens juste d’un concert absolument génial. Tellement génial que j’arrive pas à redescendre. Je sais pas si c’est parce que je suis pas sortie pendant trois semaines, ou tout simplement parce que le concert était vraiment bien. Mais voilà.
Et je voulais en parler tant que c’est encore chaud.

20h30. I am un Chien entre en scène. D’eux, je ne connaissais qu’Holograme, grâce au fameux clip chatroulette. J’avais pas prété plus attention que ça au groupe car je n’avais pas trouvé grand chose sur eux. Le fait est qu’ils font un espèce d’electro rock qui donne vraiment une pêche d’enfer. Ils terminent avec deux duos avec Stuck in the Sound (les 2 chanteurs sont frangins), dont Holograme.

C’est l’heure de la pause, et ouai, ça commence super bien.

21h40, par là. Stuck in the Sound. Je tairais ce que je pense du chanteur. Cela ne vous regarde pas. Je connaissais le groupe de nom, une ou deux chansons. Mais c’est tout. Et là, ils sont mis à déchaîner la foule avec leurs titres, en s’éclatant sur scène, et en nous éclatant. Lorsqu’ils s’arrêtent de jouer, on se demande comment on va finir la soirée, sachant qu’il reste deux groupes et qu’on vient de perdre 10 kilos.

Deuxième pause. Queue dans les toilettes.

23h00. C’est au tour des Naïves New Beaters de monter sur scène. Ils arrivent, deux avec des espèces de feu d’artifice sur les épaules, et le chanteur habillé d’une façon étrange. Ils nous jouent les très attendus Get Love (super, btw) et Live Good. Ils sont complètement barrés. C’est sympa, mais y’a des morceaux que j’ai moins aimé. On en profite pour se poser un peu.

Troisième pause. On est morte. On va pas pouvoir suivre les PPRR.

00h quelque chose, Les Pony Pony Run Run arrivent, avec des jeux de lumières merveilleusement beau. Et là, c’est la révélation, autant leur album est sympa, autant en live, c’est génial. Ils donnent à toutes leurs chansons un petit air electro, et une bonne dose de clavier. Les moments forts, je dirai quand on était tous en train de chanter Hey You. Et leur dernière chanson avec une introp complètement electro, l’effet de lumière, on était complètement transporté, comme en plein trip. Oubliée la fatigue, c’était le déchaînement. Seul reproche : Ils sont arrivés, ils sont repartis, le chanteur a parlé 2/3 fois en tentant des joke pourrave. Ca va les gars, vous prenez pas trop pour des stars quand même.

1h30. Fin.

“Putain, c’était trop bieen.” “J’en peux plus”
Pause toilette/hydratation.
“tiens, pourquoi y’a du monde là ?”
“Ohhh, ils font des dédicasses”

Séance dédicasse jusqu’à 2h. (je tiens à préciser qu’on a pas vu les PPRR)

Bilan :
- Une affiche des Stucks dédicassé par le chanteur.
- Une photo AVEC le chanteur
- La place de concert dédicassé par les membres de I am un chien, avec des coeurs partout.
- Une dédi des Naïve sur la place de concert (ils faisaient payer les affiches eux.)
- 2 autocollants I am un chien
- 10 kg en moins
- Des courbatures
- Des souvenirs

(quand j’aurai la motivation de faire des photos.. )

J’ai tué ma mère.

J’ai tué ma mère. Ou LE film, NOTRE film. On en parle pas assez, et pourtant, Dieu sait qu’il est bien. C’est peut-être à cause de l’accent québécois qui donne un charme incontestable au film. Ou encore à cause de Hubert et Antonin, qui sont trop merveilleux. Peut-être à cause de la musique, de la photographie, ou tout simplement du scénario. Peu importe, ce film est un chef d’oeuvre. L’histoire ? Je sais pas comment résumer autrement qu’en vous disant que c’est une histoire d’amour, et de haine, entre un fils et sa mère. Le premier film de Xavier Dolan est remarquable, plein de répliques cultes. Un film à voir, revoir, et rerevoir. Juste pour le plaisir.

I think it’s today, yeaaah !

Il est 00h27. Et j’écris le premier article de ce blog. Sachant qu’il ne sera probablement pas publié avant longtemps, je vais essayer de pas trop dire n’importe quoi, histoire que ça reste d’actualité. Je fait encore un blog, parce que là, tout de suite, je m’ennuie, ça m’occupe. Mais pas que. Je fais aussi un blog, parce que j’adore lire certains blogs et que j’espère secrètement qu’un jour, on pensera pareil du mien, parce que j’aime bien partager ce que j’aime, ce que je pense, ce que je vis. Mais surtout, surtout, parce que je pense pas être capable de vivre sans un blog, que je suis un peu égocentrique, et que j’ai besoin d’un endroit pour m’étaler publiquement, surtout quand ça va pas. Je pense que ça doit se soigner.

Je vais donc vous pondre l’éternel bienvenue chez moi. Je ne sais pas encore de quoi ce sera fait. Wait & see, comme on dit.

& Pour finir en beauté, lâches-tes comms (joke. Bien sûr. N’hésitez juste pas a donner vos avis toussa, ça  fait toujours plaisir quoi)

(et ouai, j’ai tout fait toute seule comme une grande. Respect. Non ? Dites-moi les bugs & améliorations à faire, pleins de choses dont je ne pas satisfaite !)

PS : Ma connexion ne veut pas que je mette des photos dans les articles. Désolé donc.